En dépit de la récession que connaÎt ce secteur, les utilisateurs sont de plus en plus nombreux à opter pour des réseaux locaux hertziens et des équipements d’interconnexion de réseaux hertziens. Par contre, les technologies de la troisième génération (3G) tardent à prendre leur essor en raison des délais de mise en œuvre, des défaillances des combinés et des coûts élevés. Cependant, le lièvre n’arrive pas toujours avant la tortue. Cette session vise à examiner en quoi chacune de ces deux technologies peut contribuer à la satisfaction des besoins des entreprises et des utilisateurs. Le débat portera également sur la question de savoir se ces deux technologies sont en concurrence l’une ave l’autre ou si elles se complètent, ainsi que sur la mesure dans laquelle les fournisseurs de services devraient accorder à l’intégration des réseaux et des combinés une place essentielle dans leur plans d’activité.

En Europe, des opérateurs de réseaux de téléphonie mobile ont versé plus de 100 millions de dollars EU pour acquérir des licences d’exploitation de systèmes de troisième génération (3G). De tels montants ont suscité une controverse quant à la manière dont le prix des licences avait été déterminé et quant aux conséquences pour l’avenir du secteur. Durant cette session, les intervenants feront le point des enseignements que les décideurs, les régulateurs nationaux et les opérateurs peuvent tirer de l’expérience des systèmes 3G et examineront les meilleures pratiques pour l’avenir.