La secrétaire d’Etat souligne « Nous sommes dans un monde où les sujets sont de plus en plus interconnectés. Plus personne ne peut mener une politique verticale ou s’intéresser à un secteur sans regarder ce qui se passe dans les secteurs voisins ». Et d’appuyer : « c’est de cela que nous avions voulu prendre acte en lançant le Grenelle de l’environnement avec 5 collèges autour de la table : l’Etat, les collectivités, les associations, les syndicats, les entreprises. Cette démarche a montré sa pertinence et elle peut être reproduite à bien d’autres niveaux. On a de nouveaux collectifs à inventer pour trouver des solutions aux problèmes du monde contemporain ».
Pour Nathalie Kosciusko-Morizet, les technologies de l’information et de la communication ont un rôle clé à jouer dans la construction du monde de l’après-crise. « Ce secteur, en particulier, a une valeur ajoutée en matière de compétitivité » souligne-t-elle. Et d’ajouter « nous avons mené une étude d’évaluation : pour une unité investie dans les Technologies de l’Information et de la Communication, on peut économiser 1 à 4 unités dans d’autres secteurs ».
Parmi les actions concrètes à développer elle met en avant : « la domotique, la gestion intelligente des réseaux électriques, les énergies renouvelables qui sont des énergies décentralisées et demandent une articulation intelligente avec le réseau. »  a confié le Ministre au groupe Agrica.
Suite de l’entretien dans DOMOTIQUE NEWS n°235 à paraître le 26.06